Obstacles à l’activité physique pour des aînés en HLM

Kadia Saint-Onge, sous la direction des professeurs Janie Houle (Faculté des sciences humaines de l’UQAM, CRISES) et Bernard Paquito (Faculté des sciences de l’UQAM), aborde les conditions pour inciter les aînés vivant en HLM à bouger.
 
« Au-delà des différences individuelles, Kadia Saint-Onge a observé un contraste marqué d’un HLM à l’autre. Certains sont situés dans des environnements isolés, loin de tous les services, ce qui ne favorise pas du tout la marche. « Dans un HLM de l’Est de Montréal, par exemple, ça prend 20 minutes pour aller au dépanneur, qui est le service le plus près, et il n’y aucun trottoir pour s’y rendre, déplore la docteure. Dans un autre, se rendre au terrain de pétanque à côté de l’immeuble est périlleux, parce que la pente n’est pas adaptée aux gens qui souffrent d’arthrite ou qui ont des problèmes de hanches. » »