Dominic Lapointe professeur, département d’études urbaines et touristiques (École des sciences de la gestion (ESG UQAM)) et membre du Centre de recherche sur les innovations sociales – CRISES, Guillaume Ethier professeur au département d’études urbaines et touristiques (École des sciences de la gestion (ESG UQAM)), Camille Lefebvre architecte OAQ et doctorante à l’École de design (UQAM | Université du Québec à Montréal) et Marie-Hélène Roch artiste-chercheuse et doctorante, Faculté des arts (UQAM | Université du Québec à Montréal), partagent dans Le Devoir leur réflexion sur l’importance de préserver un espace vert menacé au centre-ville de Montréal.
« Une étude plus poussée de l’activité sur place a montré que peu de gens s’y arrêtent longuement, à l’exception de personnes en situation d’itinérance munies de leurs bagages, qui utilisent le vide comme un sas de décompression, un lieu de pause à l’écart de la place Émilie-Gamelin, grouillante de vie tout à côté. Pourquoi alors s’attacher à ce lieu banal ? Peut-être précisément parce qu’il a cette qualité de vide, d’espace non investi complètement qui permet en retour de lier ensemble les lieux pleins qui peuplent le secteur. »
Dans leur article, les auteurs mettent en avant la richesse et la valeur patrimoniale de ce parc urbain, soulignant son rôle crucial dans l’harmonisation discrète des éléments urbains du Quartier latin. Dominic Lapointe, membre de l’axe Territoires et milieux de vie du Centre de recherche sur les innovations sociales – CRISES, s’intéresse notamment au développement des communautés locales, des régions, à la géographie humaine et à la justice sociale.
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