Les femmes victimes de violence… et des préjugés des soignants

Katharine Larose-Hébert, professeure de travail social à l’Université TÉLUQ et membre du Centre de recherche sur les innovations sociales – CRISES participe à un article publié dans La Presse où elle révèle qu’une nouvelle étude montre que les femmes victimes de violence font souvent l’objet de discrimination à cause d’un diagnostic psychiatrique. Cela constitue une « deuxième victimisation » par les services publics.

« Ces femmes ont vécu plusieurs obstacles dans leur quête de services ou dans leurs interactions avec les professionnels », dit Katharine Larose-Hébert, qui présentait ses recherches au dernier congrès annuel de l’Acfas, à la mi-mai à Ottawa. « Elles faisaient face à des préjugés devant ce qu’elles avaient vécu, parce qu’on ignorait les répercussions de la violence sur leur santé psychologique. »

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